Humour    
   

 

   
   
Le golf médical
L'humour possède des propriétés vivifiantes. Je remercie mes amis pour les histoires qu'ils m'envoient régulièrement et je vous invite à faire comme eux si vous avez de bonnes histoires de golf.
   
Un trou derrière... reçu de Jean-Pierre Bazinet
Un homme joue au golf pour la première fois sur un terrain particulièrement compliqué. À un certain moment, il s'embrouille et n'est plus certain de l'endroit exact où il se trouve sur le parcours. Il aperçoit une femme, s'approche, s'excuse, lui explique sa confusion et lui demande si elle sait sur quel trou il joue.

Elle répond : «Eh bien, je suis sur le 7e et vous êtes un trou derrière moi, alors vous devriez être sur le sixième.» en lui montrant le tertre de départ approprié.

L'homme la remercie et poursuit sa partie. Un peu plus tard, la même situation se produit. Il approche encore une fois de la femme et lui repose la même question. «Je suis présentement sur le 14e trou», répond la femme et vous étiez un trou derrière moi. Vous devez vous rendre par là au 13e.»

L'homme la remercie à nouveau et termine sa partie. Lorsqu'il entre au chalet, il aperçoit la femme assise au bar. Il demande au barman s'il la connaît et celui-ci lui répond dans l'affirmative: «Elle est représentante et vient jouer régulièrement.»

Notre golfeur s'approche d'elle et lui offre un verre pour la remercier. «Je crois comprendre que vous êtes représentante. Je suis également dans la vente. Qu'est-ce que vous vendez?»

«Si je vous le dis, promettez-moi de ne pas rire.»

«D'accord», répond l'homme.

«Eh bien», poursuit-elle un peu gênée, «je travaille pour Tampax.»

L'homme se met à rire à gorge déployée.

«Je savais que vous ririez de moi. Chaque fois que je dis ce que je vends, c'est la réaction que ça provoque.»

«Non, non», répond l'homme après avoir essuyé ses larmes, «je ne ris pas de votre profession. C'est que je vends du papier hygiénique et, encore une fois, je suis un trou derrière vous.»
Touche féminine... reçue de Raymond Guyot

Un golfeur est impliqué dans un terrible accident et transporté d'urgence à l'hôpital. Juste avant son anesthésie, le chirurgien vient le trouver et lui dit : «J'ai des bonnes et mauvaises nouvelles. La mauvaise est que je dois vous retirer le bras droit!»

«Mon Dieu, non !» s'écrit l'homme. «Je ne pourrai plus jouer au golf ! Dites-moi Doc, quelle est la bonne nouvelle ?»

«La bonne est que j'ai un bras de remplacement, mais c'est celui d'une femme! Je dois avoir votre autorisation avant de procéder à la transplantation.»

«Allez-y Doc!» répond-il. "Je suis prêt à tout pour poursuivre la pratique du golf.»

L'opération se déroule à merveille et l'homme croise, un an plus tard, son chirurgien sur un parcours de golf.
«Salut, comment est votre bras?», demande le chirurgien.

«Formidable!» répond l'homme d'affaires. «Je joue le meilleur golf de ma vie. Mon nouveau bras est beaucoup plus délicat et mes coups roulés se sont grandement améliorés.»

«C'est merveilleux!» poursuit le chirurgien.

«Ce n'est pas tout» poursuit l'homme, «mon écriture est plus élégante, j'ai appris à coudre et à repriser mes vêtements et j'ai entrepris de peindre des natures à l'aquarelle.»

«C'est incroyable!» dit le chirurgien, «Je suis content d'apprendre que la transplantation vous a aussi bien réussi. Je suis heureux qu'il n'y ait pas d'effets secondaires.»

«De fait, il n'y a qu'un léger inconvénient» répond le golfeur, «chaque fois que j'ai une érection, j'ai aussi la migraine!»

Gérontologue... reçue de Yvon Desroches
Un vieil homme de 80 ans se rend chez son médecin pour son examen annuel. Le docteur étonné de sa bonne condition demande : «Comment faites-vous pour garder une aussi bonne forme physique?»

«Je suis un golfeur.» répond le vieil homme, «C'est ce qui me garde en bonne condition. Je me lève tôt et j'arpente les allées de golf du matin au soir.»

«Bien», dit le docteur, «Je reconnais que c'est bénéfique, mais il doit y avoir une autre raison. Quel âge avait votre père lorsqu'il est décédé ?»

«Qui a dit que mon père est décédé ?»

Le médecin est stupéfait. «Vous avez 80 et votre père vit toujours. Quel âge a-t-il ?»

«Il est centenaire cette année», répond fièrement le golfeur. «En fait, nous avons joué notre ronde de golf ensemble ce matin. C'est pour cela qu'il est toujours vivant. Il joue bien en plus.»

«Étonnant», reprend le docteur, «mais je demeure convaincu qu'il y autre chose. Qu'en est-il de votre grand-père ? À quel âge est-il décédé?»

«Qui a dit que Pappy est décédé?»

Abasourdi, le médecin poursuit en disant, «Vous avez 80 et votre grand-père vit toujours! Mais quel âge peut-il bien avoir?»

«Son épouse et lui ont eu mon père très jeune. Il vient tout juste d'avoir 118 ans.», répondit-il.

Avec un soupçon de frustration, le docteur dit, «D'accord, et maintenant vous allez me dire qu'il était aussi de votre quatuor ce matin?»

«Non. Il n'a pas été en mesure de venir. Il se mariait en catimini.»

Le docteur n'en croit plus un mot. «Il s'est marié en secret! Mais pour qu'elle raison un vieillard de 118 ans voudrait-il bien se marier en secret?»

«Mais, bon sens, qui a dit qu'il le voulait?»

Le grand jour... lu sur OttawaGolf

Au bras de son père, la nouvelle mariée déambule l'allée de l'église pour rejoindre son bien-aimé au pied de l'autel. En prenant place, elle remarque un sac de golf à proximité du futur époux.

«Comment se fait-il que tes bâtons de golf soient ici?»

Surpris, il la fixe droit dans les yeux et chuchote, «La cérémonie ne prend pas toute la journée, n'est-ce pas?».

La cadre... reçu de Luc Rodier

Au bras de son père, la nouvelle mariée déambule l'allée de l'église pour rejoindre son bien-aimé au pied de l'autel. En prenant place, elle remarque un sac de golf à proximité du futur époux.

«Comment se fait-il que tes bâtons de golf soient ici?»

Surpris, il la fixe droit dans les yeux et chuchote, «La cérémonie ne prend pas toute la journée, n'est-ce pas?».

LA CADRE...

Un jour, alors qu'elle marche dans la rue, une femme cadre, à qui tout réussit, est tragiquement heurtée par un autobus et meurt. Elle arrive au paradis et elle est accueillie par Saint-Pierre :

« Bienvenue au paradis! », dit Saint-Pierre, « mais avant de vous installer ici, il semble que nous ayons un tout petit problème. Voyez-vous, c'est plutôt étonnant, mais nous n'avons jamais eu de femme cadre jusqu'ici et nous ne sommes pas tout à fait certains de ce que nous devons faire de vous. »

« Je ne vois pas où est le problème », dit la femme, « laissez-moi simplement entrer. »

« J'aimerais bien, mais j'ai des ordres qui viennent d'en haut. Ce que nous allons faire, c'est vous laisser passer un jour en enfer et un jour au paradis, ainsi vous pourrez choisir où vous voudrez passer l'éternité. »

« Je pense que j'ai déjà fait mon choix. Je préfère rester au paradis », répondit la femme.

«Désolé, mais nous avons nos règles.»

Saint-Pierre lui montre l'ascenseur qui l'emmènera en enfer. Lorsque les portes s'ouvrent, elle met pied à terre à proximité d'un magnifique country club de golf. Alors qu'elle s'avance vers le pavillon, des amis s'approchent et l'embrassent en lui rappelant le bon vieux temps. Ils font un excellent parcours de golf et, le soir venu, dégustent un excellent steak accompagné de homard.

Elle passe un bon moment sans se rendre compte qu'il est temps de partir. Le Diable s'approche, lui rappelle son rendez-vous avec Saint-Pierre et, alors qu'il l'accompagne à l'ascenseur, lui indique à quel point il sera heureux de l'accueillir advenant qu'elle choisisse l'enfer. Tout le monde lui serre la main en lui disant au revoir.

Après être remontée au paradis, elle retrouve Saint-Pierre qui lui dit, « Maintenant, le moment est venu de passer un jour au paradis. » Elle passe ainsi les 24 heures suivantes, allongée paresseusement sur les nuages, à jouer de la harpe et à chanter. Elle passe un si bon moment que, encore une fois, elle ne se rend pas compte que le délai est passé avant que Saint-Pierre soit de retour.

« Maintenant que vous avez passé un jour en enfer et un autre au paradis, quel est votre choix? », demanda Saint-Pierre.

La femme réfléchit un instant et répond :

« Et bien, je n'aurais jamais cru cela, le paradis est vraiment bien, mais je crois que je me plairai plus en enfer. » Elle se rend donc à nouveau à l'ascenseur et lorsque les portes s'ouvrent, elle retrouve un paysage désolant et plein d'immondices. Ses amis sont vêtus de haillons et ramassent les saletés avec les mains pour les mettre dans des sacs. Le diable vient vers elle et lui remet le sien.

« Je n'y comprends rien! », balbutie la femme. « Hier, il y avait un magnifique parcours de golf et un chaleureux pavillon où nous avons mangé du homard, dansé et nous sommes bien amusés. Aujourd'hui, c'est un désert d'immondices et tous mes amis semblent misérables! »

Le Diable la regarde et dit en souriant :

« Vous êtes cadre. Vous devriez connaître le principe. Hier, nous vous recrutions. Aujourd'hui, vous faites partie du personnel! »

  2012-12-11
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