Humour    
   

 

   
   
Histoire de rire
Les histoires qui suivent proviennent de visiteurs et d'amis. J'en profite pour les remercier et vous invite à suivre leur exemple.
   
Arme égale... de Pierre Biron
Tiger Woods et Stevie Wonder, musicien aveugle, se rencontrent lors d'une réception de vedettes.

-Tiger: Je ne savais pas que tu jouais au golf.
-Stevie: Et oui, et je joue même la normale assez souvent.
-Tiger: Incroyable, mais comment fais-tu au départ?
-Stevie: Mon caddie choisit le bâton, marche au milieu de l'allée, me parle, et quand ma position est bien ajustée, il dit OK et va se cacher derrière un arbre.
-Tiger: Mais, comment fais-tu pour putter?
-Stevie: Mon caddie se couche sur le vert, la tête sur la ligne de putt, me parle, et quand ma position est bien ajustée, il dit OK.
-Tiger: J'aimerais bien jouer avec toi.
-Stevie: Pas de problème, mais je ne joue que pour l'argent, 10 000$ par trou. Tu choisis le terrain et je choisis le moment du départ.
-Tiger: D'accord, je choisis le terrain de Augusta.
-Stevie: Lundi prochain à minuit.
Chère épouse... de mon ami André Gosselin
Une vieille balle, c'est comme une vieille épouse...
  • On l'aime bien au début, mais on finit par s'en lasser.
  • On a beau la frotter, elle ne sera plus jamais neuve.
  • Si on la place parmi des neuves, personne ne la choisit et on a du mal à s'imaginer qu'elle l'a déjà été.
  • Quand on la perd, on a plus de peine d'avoir perdu un coup que la balle.
  • Elle n'est pas nécessairement belle, mais elle peut rendre de précieux services.

Parlant d'épouse, savez-vous comment savoir à coup sûr qu'une femme s'apprête à dire quelque chose d'intelligent, c'est lorsque la phrase commence par «Hier, mon mari m'a dit...».

Pour s'améliorer... de mon fils Christian
Il existe trois façon de s'améliorer au golf...
  • Prendre des leçons;
  • S'exercer régulièrement et;
  • Tricher.

Parlant de tricheur, saviez-vous que la déclaration d'impôt est la seule chose qui incite plus à la tricherie que le golf!

Deux balles...
En tant que retraité et employé d'un terrain de golf, j'ai le privilège de jouer régulièrement et je profite souvent de l'occasion pour fraterniser avec la clientèle du club. Un jour, voyant un golfeur s'apprêter à jouer seul, je lui demande si je peux me joindre à lui. Il me répond qu'il en serait ravi, mais du même coup m'informe qu'il compte jouer avec deux balles puisqu'il n'y a pas affluence sur le terrain.

« Je m'appelle Paul », dit-il avant de s'installer et de frapper un boulet en plein centre de l'allée. Alors là, je suis vraiment impressionné! Il se penche, place sa deuxième balle sur le tee, prend son élan, mais frappe cette fois le sol loin derrière la balle qui ne roule qu'une trentaine de verges à l'avant du tertre. Cette fois, je le suis beaucoup moins.

Après avoir frappé la mienne, on se dirige tous deux vers sa deuxième balle. Je suis assez surpris de la différence entre les deux coups, mais je n'ose trop en parler. Paul s'installe et frappe à nouveau. Époustouflant, encore une fois! Sans perdre de temps, il se dirige ensuite vers la première balle, mais rate complètement son coup.

Il en va de même jusqu'au trou. Un coup raté suit chacun de ses coups extraordinaires. Après quelques trous, la camaraderie ayant fait son nid, je m'aventure à lui demander une explication.

«Paul, tu ne sembles aucunement surpris de manquer un coup sur deux.»

Paul se met à rire.

«Mon épouse et moi avons en fin de semaine un tournoi en coup alternatif sur ce parcours et je tente d'établir s'il est préférable que je frappe le premier ou s'il est préférable qu'elle frappe la première. Le score de mes deux balles sera déterminant dans ma décision.»

  2012-12-11
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